La Jurassienne a complètement revu son format de soirée annuelle en la remélengeant, le 6 avril au temple du Sentier, avec une chantée des classes de primaire. Cette alliance de circonstance pourrait-elle devenir un filon?

Deux heures de musique animée par l’harmonie la Jurassienne et les enfants des classes 5P et 6P: voilà le programme proposé le 6 avril au temple du Sentier. La partie officielle est rapidement envoyée, le temps de retracer les engagements de l’harmonie en 2018 et d’honorer les jubilaires Muriel Locatelli et Pierre-Yves Berney (30 et 25 ans de sociétariat respectivement). En costume vert et blanc traditionnel, l’orchestre ouvre les feux avec quatre musiques de film; aux baguettes: le Morézien Frédéric Malfroy, son directeur depuis douze ans. Les «petits» de 3e et 4e années quittent les galeries pour les gradins pendant le dernier de ces morceaux de l’harmonie, manière intelligente de gérer la transition et interprètent trois chants avec le soutien de bandes-sons préenregistrées. Les maîtresses se relaient tour à tour pour les diriger.
Trois tubes pour la fin
Après une heure trente et treize pièces jouées et chantées en alternance, les deux ensembles se produisent ensemble. Le meilleur a été gardé pour la fin, à savoir trois tubes que le public va bisser: Vois sur ton chemin, inoubliable chanson du film les Choristes (2004), le hit portoricain Despacito et recordman du clip le plus visionné au monde (6+ milliards de vues) et pour finir, une incursion dans la savane avec Le lion est mort ce soir, un vieux morceau de 1939. C’est Jean-Pierre Moullet, enseignant retraité et vice-directeur de l’harmonie, qui a lui-même arrangé les trois derniers morceaux pour «ses» musiciens, en plus d’avoir sollicité le concours des classes pour cette soirée annuelle.
Revu complètement son format
Jusque-là, c’est aux Bioux que «la Jura» organisait chaque printemps sa soirée annuelle. Or la pression fortement ressentie à renouveler ses rangs et la bonne idée de Jean-Pierre Moullet d’associer les élèves ont enfanté, cette année, d’un format nouveau et franchement, gagnant. Avec cent vingt élèves sur scène, un important public de parents, frères et sœurs, oncles, tantes et j’en passe était assuré. La chantée de Noël au Brassus, avec la chorale villageoise, avait déjà suivi le même schéma. Et c’est tout le mérite des enseignants de 5 et 6P, douze d’entre eux (dont deux hommes, tout de même) d’avoir préparé leurs classes pour ce beau moment. La tradition chorale de La Vallée a encore de beaux jours devant elle.





Décidement cette vallée de joux a le don pour écrire des choses ambigus : alliance de circontances qui deviendrait un filon ?
Sommes nous dans une mine d’or ? de diamants ? d’un divin enfants ? de l’or blanc du blanchissement des pistes articiellement engendrés ? de la détresse des bucherons ?
Dans la réalité je vois une chorale trés hétéroclites de toutes les couleurs dont rien a voir avec la tradionnelle blancheur de la vallée et la liberté d’expression des publicitaires des marques de voiture toujours en premiere page du journal !!
Qui aura le dernier mots la liberté ou la censure sous prétexte moralisateur du brassus ?
Je laisse au SUIISSE régler le probléme car l’artiste que je suis n’est pas nlà pour mettre la zizanie mais pour faire voir autrement et autres choses que ce bon journalistiques des valeurs du conservatisme ambiants.
alors non pas bonne entendeur salut , mais tout de bon !
mr thuillier-charmet
21-04-2019