La Suisse offre à ses habitants une qualité de vie parmi les plus élevées du monde. Pour de nombreux étrangers, la Suisse a représenté dans le passé une chance de vivre mieux de leur travail et de pouvoir offrir un meilleur futur à leur famille. Nombreux sont les filles et fils d’immigrés à respecter la Suisse du travail, la Suisse de l’exigence, la Suisse de l’effort, la Suisse solidaire si nécessaire, qui a permis à leurs parents et leurs familles de trouver ici la qualité de vie qui était impossible ailleurs.
L’immigration, c’est un peu comme quand l’on accueille quelqu’un dans sa maison. Pour que cela se passe bien, il faut que, d’une part, les invités respectent les règles et coutumes de votre maison. D’autre part, il s’agit de gérer le nombre d’invités, faute de quoi il n’y aura pas assez de place dans la maison et ils empiéteront sur votre famille.
Depuis l’introduction de la libre circulation des personnes avec l’UE, la part des étrangers à la population s’est accrue de plus d’1,1 million de personnes pour atteindre 2,1 millions. Pendant ce temps, le nombre de Suisses, hors naturalisation, restait stable à 5.5 millions de personnes. Un habitant sur quatre de la Suisse est aujourd’hui un étranger.
Aujourd’hui, le modèle suisse d’une immigration réussie se lézarde. L’intégration ne fonctionne plus aussi bien et des communautarismes s’installent. La tolérance de certains politiques, souvent de gauche, n’est en fait que faiblesse et incapacité à imposer les règles qui définissent notre société, ainsi que son histoire judéo-chrétienne.
La Suisse doit rester un pays d’accueil, sous condition de s’occuper en priorité des personnes qui habitent déjà en Suisse. La Suisse doit être tolérante et laïque, mais ne doit pas être faible et amnésique!
L’UDC défend cette vision d’une immigration bien gérée, basée sur une intégration réussie, et en accord avec les valeurs qui ont fait et feront le succès de la Suisse.
UDC Vallée de Joux