Le samedi 16 novembre 2019, une délégation du Conseil Exécutif du Village du Pont s’est rendue chez Monsieur Oriol pour célébrer, avec 1 jour d’avance, son nonantième anniversaire.
Après un accueil de circonstance, Monsieur Oriol nous retraça son parcours sous les yeux admiratifs de son épouse. Avec son regard vif et brillant, il nous expliqua son périple et ses moments de joie mais aussi ceux plus durs qui ont marqué sa vie.
Monsieur Jaime Oriol est né le 17 novembre 1929 en Espagne. Grâce à un ami lui ayant trouvé du travail chez Golay-Büchel comme mécanicien, il est arrivé à Malley en 1957 depuis Barcelone. Très vite Monsieur Oriol fut engagé chez Bobst, toujours comme mécanicien, où il effectua toute sa carrière jusqu’à sa retraite. Il dû notamment mettre en pratique la transition de la mécanique manuelle aux commandes numériques. Monsieur et Madame Oriol, parents de 3 enfants et Chrétiens évangéliques convaincus, vécurent jusqu’en 1964 à Renens, puis à Chevilly jusqu’en 2009 et enfin dans leur joli petit chalet des Pierres-Plates au Pont, où l’atmosphère intérieure très chaleureuse, retrace une vie bien remplie. Monsieur Oriol est un bricoleur infatigable trouvant sans cesse, entre les nombreuses balades avec son épouse toujours souriante et son fidèle chien Rocky, les idées de transformer les alentours de son chalet ou d’améliorer le confort intérieur.
Après ce moment d’échange fort sympathique, nous avons pris congé de Monsieur et Madame Oriol en leur souhaitant pour de nombreuses années encore, de pouvoir profiter de cette santé et de cette vigueur dans cet endroit magnifique en compagnie de leur chien Rocky.
Conseil exécutif du Village du Pont
Mmmmh, il y a quelques défauts dans votre article.
Déjà, il n’est nullement cité qu’ils ont également 2 petits-enfants et 2 arrières petits-enfants.
De plus, « sous le regard admiratif de sa femme »?
« son regard vif et brillant »?
« Son épouse toujours souriante »?
Vous êtes certains de parler de mes grand-parents?
Je veux bien reconnaître la fidélité de Rocky en revanche.
Mais c’est fou comme un simple article de journal peut déformer la réalité.
Mais bon, je suppose que puisqu’il s’agit de parler des 90 ans de mon grand-père, qui, je le reconnais a une sacrée santé, ainsi que ma grand-mère. Il n’était pas question de préciser qu’ils se sont mis toute leur famille à dos.
Mais je m’étonne quand même sincèrement qu’il n’est question que de ma mère, ma tante et mon oncle, leurs trois enfants, mais pas de moi et ma sœur, ainsi que ses deux enfants.
Sur ce, bien le bonjour à mes grands-parents!
Rachel