Elles interviennent en fin de chaîne pour ajouter un élément purement esthétique, dans un métier manuel ancestral qui a survécu à l’automatisation. Or souvent, elles restent dans l’ombre: deux graveuses horlogères de la Vallée de Joux évoquent leur art, sa place dans la filière de production et l’évolution commerciale de leur activité.
Vous devez être abonné pour voir ce contenu.