Les changements climatiques – naturels ou autres – inquiètent de nombreuses personnes. C’est compréhensible. Ce qui l’est moins, c’est que les idéologues de la gauche et des verts abusent sans aucune gêne de cette situation pour tenter d’imposer leurs recettes inefficaces et chères. Nous devons nous y opposer et faire appel à la raison. On commence par semer la peur et la panique pour ensuite imposer plus facilement la transformation socialiste de la société. Voilà la stratégie politique des idéologues climatiques de la gauche et des verts qui se mettent actuellement en scène grâce à un appui médiatique jamais vu jusqu’ici et qui n’hésitent pas à abuser de la bonne foi d’un public souvent mal informé. La classe moyenne sera arnaquée moyennant de nouveaux impôts et redevances et cet argent sera redistribué pour acheter comme l’habitude de la popularité – donc – des votes. Les citoyennes et citoyens seront rééduqués afin qu’ils modifient leur style de vie. Le résultat: une diminution du standard de vie et du pouvoir d’achat de la classe moyenne, et encore plus de pauvreté! (~6% de la population sous le seuil de pauvreté dans notre pays ne suffit apparemment pas). Les arts et métiers et l’agriculture seront mis sous tutelle par des nouvelles prescriptions et les petites entreprises seront harcelées encore plus avec de la paperasse sans fin et avec des lois vertes encore plus absurdes. Sous les habits verts à la mode, la gauche cherche à imposer un carcan socialiste et à prendre le pouvoir. Voilà la réalité! Ce sont exactement les mêmes milieux, qui veulent interdire la voiture thermique aux pendulaires, bannir la viande des cantines et tirer l’argent des poches des travailleurs avec des nouveaux impôts sur le climat, qui sont également pour la libre immigration. Ils sont responsables de l’augmentation de la population suisse d’un million d’habitants en 12 ans seulement, ils sont responsables d’une Suisse à 10 millions d’habitants que nous aurons bientôt. C’est leur politique qui provoque l’augmentation de la consommation d’énergie, le bétonnage des paysages, une consommation sans borne. Ce sont ces mêmes milieux qui se présentent aujourd’hui en sauveteurs verts de la Suisse! Il ne faut pas se laisser leurrer par les trucages effrontés de ces faux prophètes. L’extrémisme rouge-vert est nuisible pour la Suisse!
J.W. Kuepfer
Ecolo réaliste
Le Solliat