Pour terminer en beauté l’année du 25e anniversaire des Rencontres Culturelles, le Chœur des Armaillis de la Gruyère a été invité à chanter Noël le dimanche 19 décembre au temple du Sentier. Au programme : des chants sacrés et populaires de la nativité avec une pincée de chants traditionnels de la Gruyère.

Une ambiance chaleureuse
Fondé en 1955, le Chœur des Armaillis de la Gruyère maintient en vie les chants populaires de la Gruyère en se produisant en Suisse et pas seulement. Grâce à leur talent et authenticité, ils ont eu l’opportunité de participer à plusieurs concours et festivals un peu partout dans le monde. C’est finalement à La Vallée qu’ils ont atterri dimanche passé. Avec une file d’attente qui s’étendait jusqu’à la route, de nombreux auditeurs ont répondu présent. Pendant plus d’une heure et quart le Chœur a partagé avec les Combiers et Combières des chants sacrés et populaires de la nativité tels que le chant grégorien « Puer Natus » ou encore le fameux « Les Anges de nos Compagnes », ainsi que les plus beaux airs de la Gruyère dont l’incontournable « Ranz des vaches ».
« Chanter Noël ne fera pas tomber les masques c’est sûr, mais nous espérons vous donner du baume au cœur et vous redonner le sourire ». C’est avec cette proclamation que le directeur du Chœur, Nicolas Fragnière, introduit le concert. L’objectif a, bien évidemment, été atteint. A la fin du concert, malgré les masques, les sourires des auditeurs qui ont rempli le temple pouvaient être ressentis. Ajoutons à cela une pluie d’applaudissements qui a donné au Chœur la motivation de rechanter trois airs.
Un programme chargé pour les RCVJ
Ainsi s’est donc clôturée l’année du 25e anniversaire des Rencontres Culturelles. Pour l’année prochaine, un programme riche en concerts variés et attrayants est prévu. Le 30 janvier, pour la première manifestation de l’année, un concert de chant et trio instrumental sur une musique inspirée par les tableaux du peintre Ferdinand Hodler est proposé par le Quatuor Inattendu : « Hodler – Entre lacs et montagnes ».
Article écrit par Márcia Matos Ferreira