Madame, Monsieur, l’ère des vaches à lait numériques a commencé. Depuis plus de dix ans, je profitais gratuitement de votre magnifique région, ce qui était une véritable aubaine pour les retraités au budget limité.
Aujourd’hui, me voilà spolié, racketté, contraint de payer entre 9 et 15 CHF.
Votre décision antisociale me pénalise durement. Ce qui faisait la générosité et l’ouverture de cette région accueillante laisse désormais place à une simple logique mercantile.
J’espère sincèrement que vous reviendrez totalement ou partiellement sur cette politique anti-touristique et inamicale.
Monsieur, Madame, je vous remercie et espère avoir été entendu.
Meilleures salutations.
Luc-Olivier Droz