Lorsque l’on revient du camp de ski, l’heure est au bilan. En lisant les textes des élèves qui expriment leur ressenti, on comprend que beaucoup ne seraient pas contre le fait de rester quelques jours de plus. Nous, les adultes, par contre…
Mais parlons un peu des bons moments :
Le ski pour commencer, ce pourquoi nous avons mis en œuvre toutes ces énergies : des pistes préparées aux petits oignons, du soleil et le plaisir visible sur tous ces visages bicolores sont la preuve que la magie de ce sport opère encore et toujours.
Le panorama sur les cinq 4000, la couronne impériale qui se déguste comme il se doit; on la quitte en fin de journée et on se réjouit de la retrouver le matin, offerte à tous les regards qui ne s’y trompent pas : c’est exceptionnel !
La nourriture qui fut tout au long de la semaine d’une qualité supérieure, dixit une grande majorité des jeunes et la totalité des adultes (mention spéciale au désormais célèbre vol-au-vent du vendredi midi !).
La vie de chalet que chacun appréhende comme il peut avec ce bruit omniprésent, ces incidents du quotidien, ces moments de chagrin ou de joie, l’émotion que cela provoque chez quasiment tout le monde, les parties enflammées de ping-pong, les réveils nocturnes pour de bonnes ou de moins bonnes raisons et les bobos du corps et du cœur…
Dès lors que les foyers sont à nouveau au complet, je me rends compte de l’importance des camps; quel que soit leur contexte, ils sont indispensables parce qu’il permettent aux élèves de connaître la vie communautaire, la solidarité, le joyeux chahut des dortoirs, etc.
Sans eux, rien n’est possible :
Merci Anne-Thérèse, Teresa, Christel, Leslie, Eve, Suzana, Thibaud, Elias, Rocco, Nicolas, Dominique, Jonathan, Christian.
Merci à l’Association Scolaire Inter-communale de la Vallée de Joux et à travers elle les trois Communes.
Merci à la Direction.
Merci aux parents.
Merci aux élèves!
Frédéric Simond