«Tirs sauvages et émotions aux Tâches, FAVJ du jeudi 9 août à la page 2»
Ce titre accrocheur fait référence à un événement survenu le 29 juillet, et qui a mis en émoi plusieurs habitants du quartier concerné.
Malgré une méconnaissance du déroulé des événements, une hypothèse fait allusion à des tireurs sportifs qui auraient pu se livrer à des «prolongations»… comme cela semble être déjà «arrivé»…
Je me dois d’apporter des rectifications importantes, puisque ces affirmations jettent le doute et la suspicion sur le sérieux de nos tireurs, et donc, de toute notre corporation.
Lors de nos manifestations de tir, nous devons faire preuve d’une extrême prudence et d’une rigueur irréprochable (fermeture de route avec une signalisation spécifique, présence d’un moniteur de tir, surveillance lors des tirs, inventaire précis des cartouches vendues et tirées, contrôle des armes tout au long des tirs, etc.). Difficile, à la lecture des éléments de sécurité décrits ci-dessus, d’imaginer des tireurs sportifs irresponsables faisant des «prolongations», en totale impunité…
Lors de la survenance des faits relatés, les représentants de la Police Cantonale Vaudoise avaient presque immédiatement constaté que la munition incriminée n’était pas la même que celle utilisée dans nos stands. Contact téléphonique avait d’ailleurs été pris avec le soussigné durant cette fameuse nuit, pour constater que tout s’était bien passé durant la journée de tir et au-delà.
Peut-être que cet événement -et l’article auquel je fais allusion- pourront d’autant plus mettre en évidence le sérieux et la compétence dont nous avons fait preuve pour fêter dignement cette 162e année sans accident ni incident.
L’Abbé-Président Jean-Noël Bifrare