• ABONNEMENT
  • PUBLICITÉ
  • BOUTIQUE
  • CONTACT
  • PLACE DU MARCHÉ
Feuille d'Avis de la Vallée de Joux
  • Facebook
  • YouTube
  • Instagram
  • Contact

Votre publicité

en ligne et dans le journal

  • Accueil
  • Vie locale
  • Sport
  • Avis officiels
  • Avis mortuaires
  • Annonces
  • Archives
  • Accueil
  • Vie locale
  • Sport
  • Avis officiels
  • Avis mortuaires
  • Annonces
  • Abonnement
  • Publicité
  • Boutique
  • Archives
  • Contact
  • Place du Marché
Accueil » A la Une » Dominique Weibel célèbre La Vallée, cette fois, dans un livre

Dominique Weibel célèbre La Vallée, cette fois, dans un livre

Joël Reymond 5 novembre 2020 8 h 00 min 2 commentaires

C’est le premier livre que publie le photographe, randonneur amoureux du grand air et des paysages préservés, qui vit la photo comme une extension de son hobby.

Couverture du livre aux Editions Alphil, imprimé sur les presses de l’Imprimerie Baudat

236 pages de grands clichés pleins d’émotion et à la toujours riche palette de couleurs: sous le titre «La Vallée de Joux, des images – un regard», Dominique Weibel tient son premier livre. Cet ouvrage paru chez le Neuchâtelois Alphil fait la part belle aux plans larges et même au panoramas, réalisés en resserrant horizontalement les images ou en combinant des prises multiples en une seule photo. Le recueil s’ouvre justement sur un panorama de la ferme du Haut-Crêt (le Lieu) jusqu’au Lac Ter, dans les brumes matinales, avec la Dent en toile de fond. Ce bout du lac reviendra tout au long du recueil, avec la combe des Begnines, la plus sauvage de toutes: ce sont là des lieux «purs» – le mot revient volontiers dans sa bouche – qu’affectionne particulièrement Dominique Weibel. «J’aime le terroir, les vieilles fermes, les alpages (qui font l’objet d’une série de photos du livre), les paysages préservés», commente l’artiste. C’est son éditeur qui a suggéré d’ajouter du bâti dans le recueil.

Instants volés

«Ces photos sont un peu des instants volés. Je les ai réalisées à côté de mon travail dans un domaine connexe, la photo de pièces micromécaniques et les retouches photo. J’étais toujours à l’affût du bon éclairage sur un paysage, à me demander s’il fallait y aller ou non.» Et d’expliquer qu’une photo de lever de soleil sur les crêtes enneigées, dominant la plaine, c’est une heure et demie d’ascension en peau de phoque dans la nuit, sans assurance d’aboutir au résultat escompté; si le ciel est couvert, il faudra revenir un autre jour. «Aujourd’hui, n’importe qui peut réussir le cliché qui soudain s’offre à lui avec son smartphone, sans l’avoir prévu; quand on recherche une image précise, avec une ambiance définie, c’est un tout autre investissement.»

D’autres projets en tête

La photo, Dominique Weibel y est revenu sur le tard, en fait, à l’époque où il s’est établi à La Vallée. Pour la petite histoire, il venait dériver dans sa jeunesse sur le lac, à une époque où le Bol d’Or attirait tous les navigateurs de Romandie. Il y est ensuite monté régulièrement pendant ses congés et vacances avant de s’y établir pour finir, en 2000.
Les clichés de son recueil ont été réalisés ces trois ou quatre dernières années; quelques-uns, une petite minorité, sont plus anciens, à l’époque où l’artiste avait réalisé un premier calendrier pour l’imprimerie Baudat.
Prochainement retraité, Dominique Weibel annonce avoir d’autres projets de livre en tête et davantage de temps à disposition pour sa passion, la randonnée dans les espaces les plus vierges possibles.
«La Vallée de Joux, des images – un regard» de Dominique Weibel, sera disponible ces jours dans les commerces et auprès de l’éditeur.

Secrets de fabrication

Dominique Weibel a suivi la même approche fine, la recherche d’un angle et d’une heure appropriés, pour ses paysages que pour les animaux sauvages rassemblés dans une des séries de son livre – la même attitude empreinte de réserve, de respect et même d’estime. C’est à ce prix, celui de randonnées discrètes et répétées, que le photographe a pu saisir tétras et autres sangliers. Et voilà des gros plans qui rompent avec les habituels plans larges.
Pour les clichés pris en forêt, l’artiste a privilégié des jours gris; la luminosité amène trop de contraste.
Quant au drone, il s’est mis à cette technique il y a trois ans, avec succès, mais aussi une certaine réserve. «C’est un outil de travail accessoire, bruyant que j’utilise occasionnellement avec un plan de vol bien précis. De toutes façons, je ne peux emporter à la fois mon appareil photo et le drone dans mon sac à dos… Je dois choisir.»

Dominique Weibel dans son atelier de Derrière-la-Côte. Le photographe du Sentier, soixante-quatre ans, a déjà publié ses clichés dans le calendrier de La Vallée, il y a une douzaine d’années puis de nouveau récemment ou encore effectué des grands reportages pour des journaux romands.
Début de matinée d’automne, Le Lieu
Chalet Capt, forêt du Risoud
«La Vallée de Joux, des images – un regard» est le quatrième opus d’une série de livres photos consacrés chaque fois par un artiste à une région. A l’image, les trois premières régions choisies.

 

Joël Reymond |Voir tous les articles de Joël Reymond

Enfant de la Vallée, Joël Reymond a toujours eu la manie de la plume (du clavier, de nos jours). Dans les années 90, il était déjà feuilletoniste amateur dans les colonnes de la FAVJ. Vingt ans plus tard, il reprend pour ainsi dire du service, après avoir été longtemps membre de la rédaction d'Alliance Presse, plus important groupe de presse écrite protestante en français. Depuis 2012, il travaille dans l’édition, parallèlement à son activité comme correspondant de la FAVJ. Très attaché à sa région, il se réjouit d’en faire partager les saveurs et les secrets localement et au-delà.
Le contacter

« Article précédent
Article suivant »

2 Responses

  1. Pône Répondre 6 octobre 2021 at 19 h 22 min

    j’ai travailler au “F.A.R” au sentier . Merci pour le travail de mémoire.

    Daniel Pône

  2. Pône Répondre 6 octobre 2021 at 19 h 24 min

    travaillé s’écrit” travaillé” sans le “R”

Laisser un commentaire

Cliquez ici pour annuler la réponse.

Souscrivez un abonnement
Le meilleur de la Feuille d’avis dans votre boite mail chaque semaine
Suivez-nous
Dernière vidéo
A propos de la FAVJ

Éditée depuis 1840, la Feuille d’Avis de la Vallée de Joux apporte un éclairage sans cesse renouvelé sur la vie locale et traite chaque semaine les sujets phares de l’actualité régionale. Ancrée dans son époque, c’est également une Place du Marché permettant aux particulier d’acheter et de vendre gratuitement et simplement des biens et des services.

Imprimerie Baudat

En plus de l’édition de l’un des plus anciens hebdomadaires de Romandie, l’Imprimerie Baudat propose également un service de premier plan et des infrastructures dernier cri pour mener à bien tous vos projets d’impression. Contactez-nous dès aujourd’hui pour obtenir une offre !

Contactez-nous

Imprimerie Baudat et
Feuille d’Avis de la Vallée de Joux SA
Le Crépon 1 – L’Orient
Case postale 120
1347 Le Sentier

Tél. +41 (0)21 845 55 27
Fax. +41 (0)21 845 44 52

imprimerie@baudat-favj.ch

Site by Pmbcom
Scroll to top