Après deux ans sans concert, l’Harmonie La Jurassienne du Sentier est enfin de retour ! Ce samedi 19 mars au Temple du Sentier, La Jura est revenue sur les devants de la scène avec un concert de printemps de qualité.

Un retour attendu
Son dernier concert avait eu lieu en janvier 2020 dans le cadre des Jeux Olympiques de la Jeunesse. Depuis, même sans manifestations, La Jura n’a pas chômé. C’est avec beaucoup de motivation que l’harmonie, accompagnée de son directeur, Frédéric Malfroy, a travaillé dans la perspective de pouvoir montrer à son public un programme de qualité. Après plusieurs concerts annulés, ils y sont finalement parvenus.
Pendant plus d’une heure La Jura a interprété des morceaux divers et variés qui ont su mettre en valeur le talent de tous les musiciens. Le public a pu reconnaître les airs familiers de certains tubes planétaires tels que Livin’ on a Prayer de Bon Jovi ou encore Crazy Little Thing Called Love de Queen. Les musiques de cinéma étaient aussi au rendez-vous avec un medley des bandes sons du Roi Lion, de Gladiator ou encore des Pirates des Caraïbes du célèbre compositeur Hans Zimmer. Ajoutons à cela un magnifique duo de clarinettes et l’interprétation envoûtante de Cassiopeia, un poème symphonique de Carlos Marques. Finalement, c’est avec un arrangement de Bad Guy de Billie Eilish que La Jura a agréablement surpris son public.
Membres distingués
Une seule jubilaire a été félicitée cette année, il s’agit d’Annick Moullet qui a fêté ses 20 ans de Jurassienne. Quatre autres membres, ayant obtenu des distinctions de la Société Cantonale des Musiques Vaudoises, ont également été applaudis : Charly Capt et Pierre-Michel Perrin pour
60 ans de musique, Sylviane Capt pour 35 ans et Pascale Meylan pour 20 ans à la SCMV.
Un programme chargé
Les prochains mois seront chargés pour La Jura. En mai ils participeront au comptoir de la Vallée de Joux, en juin ils seront à Mollens dans le cadre du Giron des musiques du Pied du Jura et en juillet ils animeront le tour du lac de Joux.
Article écrit par Márcia Matos Ferreira