Cette idée a germé dans l’esprit de l’ancien enseignant d’italien, tessinois de son état, il y a deux ans. La crise sanitaire ayant bloqué toutes les sorties, cette initiative n’est restée que projet bien que fortement médiatisée auprès des élèves. En octobre, grâce à la générosité de l’ASIVJ, les choses prennent forme: 22 élèves combiers, qui étudient l’italien en option spécifique à l’EPS Vallée de Joux, partiront du 11 au 13 avril 2022 au Tessin, encadrés par Stacy Vallélian, enseignante d’italien, Sandra Misciali et la soussignée, entraîner sur le terrain, la troisième langue nationale et découvrir le Tessin au printemps.
Après avoir traversé le tunnel de base du Gothard, c’est au centre sportif de Bellinzone que le campement a été établi avec au programme:
• Visite guidée de la ville de Bellinzone, découverte de son histoire et de ses 3 châteaux.
• Val Verzasca, voyage en bus impressionnant, paysage lunaire laissé par le lac vidé pour nettoyage, marche et activités diverses le long de la rivière assez calme pour un mois d’avril et Bobosco parcours.
• Rallye photos pour découvrir Locarno, ses monuments et son ambiance méridionale.
Un peu de sport pour profiter des installations mises à disposition sur place, des soirées jeux de société, des glaces, des pizzas, des pique-niques à composer soi-même, de bons moments d’échanges, des élèves sympathiques, tels furent les clés du succès de cette escapade printanière que les enseignantes ont déjà hâte de revivre dans 3 ans avec d’autres élèves.
Citations d’élèves :
Les chambres étaient bien et confortables.
J’ai aimé les jeux de société en fin de journée.
Le canton du Tessin est magnifique!
C’était bien d’être assez libre, on a pu visiter en petits groupes avec des amis.
Les visites des différentes villes et endroits du Tessin étaient toutes différentes et géniales.
C’était chouette d’avoir nos téléphones la journée pour faire des photos.
C’était cool de pouvoir parler italien.
Le seul point négatif, ce sont les gens qui prennent nos places réservées dans les trains.
Il faudrait que le camp dure plus longtemps.
Pour l’EPS Vallée de Joux
Caroline Penseyres, cheffe de camp