Cette prolongation/extension de la loi sur les épidémies, proposition du Conseil Fédéral, approuvée par une majorité docile du parlement, ravive douleurs, scandales et frustrations chez une population suisse silencieuse et quasi résignée!
En effet, nombre de petites entreprises, établissements publics voire des particuliers peinent ou n’arrivent pas à rembourser les emprunts Covid ce qui explique ce nombre record de faillites depuis le début de cette année, côtoyant les «malins» qui ont abusé du système et qui risquent de passer entre les mailles des enquêteurs.
Je constate: 1) que la loi actuelle est bien faite et suffisante. Le ministre de la santé, qui a largement abusé de la notion d’Urgence, a probablement peur que ça ne marchera pas une deuxième fois.
2) Par contre, ce qui m’aurait fait plaisir de voter, ce 18 juin, c’est une modification du «droit d’urgence» qui, à mon avis, devrait être limité à
3 mois, reconduit seulement après une approbation des Chambres fédérales.
Deux ans de dictature ont permis de cacher, à jamais? les prix d’achat des produits imposés (injections, masques, divers dont certains fabricants (Pfizer, Moderna), profitant de la panique instaurée, se sont entendus pour doubler le prix des injections en cours de route et l’écartement de tous les acteurs qui avaient des remarques gênant le discours imposé, officiel et unique…
Seul le nombre des millions de doses injectables périmées en Suisse et passées à la poubelle a été avoué!
Pour moi, c’est un grand NON en majuscules que je vous invite à glisser dans l’urne, un NON à une nouvelle tentative de restreindre encore notre liberté qui s’effrite insidieusement!
Gilbert Magnenat